Le Mouvement Tamia fait partie intégrante de l’ADN de l’École Marcel-Raymond (EMR) de Lorrainville depuis 1981. Ainsi, les athlètes méritants recevaient leur prix lors du gala scolaire de fin d’année alors qu’une section de l’évènement leur était dédiée. Pour 2024-2025, une nouvelle formule a vu le jour : un gala entièrement consacré aux athlètes et entraîneurs du Mouvement Tamia se tenait le 29 mai dernier au gymnase de l’école.
« Le gala traditionnel de l’école a été aboli et a changé de formule. Celui-ci se déroule maintenant à trois reprises au courant de l’année, à l’interne, sous forme de mérite « rigueur et civisme ». […] Considérant le changement de formule du gala traditionnel, j’ai pris la décision de faire un gala personnalisé uniquement pour le Mouvement Tamia », explique Pierre Côté, responsable de l’organisation depuis 2020.
Ce nouveau gala répondait à trois objectifs précis. Dans un premier temps, le but est de reconnaître la participation de tous les athlètes et les entraineurs au sein des équipes d’athlétisme, de badminton, de cross-country et de volley-ball. Deuxièmement, le gala permet de reconnaître les athlètes par excellence, ceux dont l’éthique sportive est irréprochable, ceux s’étant le plus améliorés, et ce, dans chacune des équipes, sans oublier la reconnaissance des jeunes qui s’impliquent comme entraîneurs et arbitres. Enfin, c’est l’occasion de dévoiler les athlètes féminin et masculin de l’année. Audrey-Anne Rocheleau et Milan Toupin sont les heureux élus. « Pour leur talent, leur performance, leur implication, leur rigueur, leur persévérance et leur leadership », spécifie monsieur Côté.
Les athlètes et les entraîneurs conviés ainsi que les parents invités étaient donc réunis pour célébrer cette fin d’année scolaire sportive. Pour créer la surprise et ajouter un brin de folie à l’évènement, chaque équipe était invitée à arborer un thème de son choix.
Bref, la première édition a été réussie et Pierre Côté confirme qu’il y aura également un gala l’an prochain, une nouvelle tradition qui s’inscrit dans l’histoire du Mouvement Tamia.
