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Le marché immobilier québécois s'en tire haut la main

23 janvier 2021

par : Communiqué

photo : APCIQ

L’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ) a publié les plus récentes statistiques du marché immobilier résidentiel de la province de Québec, établies d’après la base de données provinciale Centris des courtiers immobiliers.

Ainsi, 112 476 ventes résidentielles ont été réalisées en 2020 dans l’ensemble du Québec, soit une hausse de 17 % par rapport à 2019. Il s’agit d’un record d’activité depuis que le système Centris des courtiers immobiliers compile les données de marché (2000).

« Le quatrième trimestre boucle en force une année 2020 remarquable, marquée par une crise sanitaire inédite. Les aides financières gouvernementales exceptionnelles, le niveau plancher des taux d’intérêt, le regain d’intérêt pour l’acquisition de propriétés adaptées à la nouvelle réalité du télétravail ainsi que de nouveaux besoins ont accéléré la multiplication des transactions au-delà des grandes agglomérations. Ce phénomène a diminué d’autant le nombre, déjà restreint, de propriétés offertes à la vente sur le marché, propulsant le prix des propriétés à des niveaux jamais atteints auparavant à l’échelle de la province », explique Charles Brant, directeur du Service de l’analyse du marché à l’APCIQ.

Voici les faits saillants de 2020 :

  1. Dans les catégories de propriétés, l’unifamiliale s’est distinguée par une hausse marquée de 18 % des ventes à l’échelle provinciale.
  2. Les régions localisées à l’extérieur des régions métropolitaines sont celles qui ont connu les hausses de ventes les plus spectaculaires (+31 %), et ce, dans tous les types de propriétés.
  3. On comptait en moyenne 39 848 inscriptions en vigueur sur le système Centris en 2020, soit un repli de 29 % par rapport à 2019. Il s’agit d’une cinquième baisse annuelle consécutive à ce chapitre.
  4. À l’échelle provinciale, le prix médian des unifamiliales a atteint 295 000 $, ce qui représente une augmentation de 13 % par rapport à 2019.
  5. Les conditions du marché se sont resserrées dans la grande majorité des secteurs de la province. De nombreuses agglomérations situées à l’extérieur des régions métropolitaines ont connu les plus rapides resserrements de marché à la faveur des vendeurs.
  6. Les délais de vente à l’échelle de la province se sont raccourcis comparativement à un an plus tôt : il fallait compter en moyenne 86 jours pour trouver preneur, soit 11 jours de moins qu’en 2019.

En cette période de pandémie, l’APCIQ rappelle que faire équipe avec un courtier, c’est aussi plus de sécurité et moins de stress puisque chaque membre est soumis à la Loi sur le courtage immobilier, à des règles et à un code de déontologie stricts.

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