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La programmation musicale du musée de la Gare termine en beauté

5 septembre 2024

par : Marie-Soleil Legendre | Journaliste de l’Initiative de journalisme local

photo : Marie-Pier Valiquette

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La programmation musicale estivale du musée de la Gare s’est conclue en beauté jeudi dernier avec le spectacle de Makenzie Makenzie. Son folk alternatif, riche en arrangements et en textes évocateurs, a captivé le public avec une touche unique qui dépasse les frontières de la pop et de la chanson traditionnelle. Sa plume sensible, rappelant par moments les auteurs de la vague post-impressionniste, et ses mélodies envoûtantes ont créé une atmosphère à la fois émouvante et électrisante. Son univers, un mélange délicat de folk, de rock et de pop baroque, a su toucher et transporter les spectateurs dans une époque fin 1960-1970.

Ce concert marquait la fin d’une programmation particulièrement réussie, dont la technique a été assurée de main de maître par Kwe Productions. Tout au long de l’été, le musée a eu le plaisir d’accueillir des artistes tels que Belle Lurette, Big Fish, Adelphes et Tamara Webber en plus de Makenzie Makenzie, apportant une diversité musicale enrichissante. Il y a eu aussi « deux artistes en résidence, Marie-Hélène Massy Emond qui revient en septembre pour une marche concert pendant les Journées de la culture avec Dominic Lafontaine et qui cet été était accompagnée d’Emily Séguin […] et on a présenté deux expositions, Témiscaming, l’histoire d’une ville et Appartenir, une exposition d’art actuel commissariée par Émilie B. Côté et qui rassemble le travail de neuf femmes artistes de l’Abitibi-Témiscamingue », précise Marie-Pier Valiquette, directrice du Musée de la Gare.

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Le 30 août était également une date importe pour l’organisme culturel qui accueillait le lancement officiel du recueil Cœur à bois de Frédérik Fournier, inspiré du spectacle du spectacle du même nom. La soirée a débuté à 19h avec la lecture du quatrième conte, Moose Party, une histoire fascinante qui promettait de reconnecter les auditeurs à leur instinct animal. Cette plongée dans un monde où la magie et la réalité se mêlent a été suivie d’une rencontre chaleureuse avec l’auteur, agrémentée de boissons et de bouchées. Le recueil se veut un hommage vibrant aux racines et aux réalités de la population de Témiscaming.

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